Tu es le rêveur du monde des rêves.
-Un Cours en Miracles. 27.VII.12
Il n’a pas d’autre cause et n’en aura jamais.
Sans aide, il est quasi impossible d’accepter l’irréalité du monde que tu vois, et encore moins de reconnaître que tu en es le rêveur. Une résistance très énergique s’impose à l’idée d’être responsable de rêver un tel monde. Il n’en demeure pas moins, que cette idée, apporte avec elle un grand sentiment de liberté.
Telle une projection de notre esprit, le monde reflète la croyance que nous sommes des corps séparés vivant une existence tout aussi séparée. Mais cela n’est pas notre réalité. De par notre intention à défaire l’idée de séparation, en modifiant notre pensée, naît le commencement de la fin du rêve. L’Alpha et l’Omega.
Les trois femmes que vous êtes sur le point de connaître ont étudié Un Cours en Miracles pendant plusieurs années. Mais sans jamais réellement comprendre ce que signifie »être le rêveur ». Jusqu’au moment où elles ont demandé, sinon ordonné, à voir le monde différemment. En réponse à leur demande, une Voix s’est fait entendre à chacune d’entre elles. La Voix du Saint-Esprit leur adressa alors un message très clair… toutes trois vivaient un rêve et il était temps de s’éveiller à leur véritable Soi.

»Un rêve heureux » précède l’Éveil. Mais pour atteindre cela tu dois accepter de voir en tous et chacun un autre toi-même – acteurs apparemment différenciés dans ton propre rêve – tous étant le Christ intérieur que tu partages avec le Saint-Esprit. L’acceptation de cet énoncé est essentielle afin de s’éveiller du monde du rêve et de reconnaître que tu es Uni en Dieu – One with God.
(maquette préliminaire de la couverture du livre. Elle a beaucoup changé depuis.)
Tu es le rêveur du monde des rêves. Il n’a pas d’autre cause et n’en aura jamais. Rien de plus effrayant qu’un rêve futile a terrifié le Fils de Dieu et lui a fait penser qu’il avait perdu son innocence, nié son Père et fait la guerre contre lui-même. Le rêve est si effrayant, il semble si réel, qu’il ne pourrait pas se réveiller à la réalité sans une sueur de terreur et un cri de peur mortelle, à moins qu’un rêve plus doux ne précède son réveil et ne permette à son esprit plus calme d’accueillir, et non de craindre , la Voix qui appelle avec amour pour le réveiller; un rêve plus doux, dans lequel sa souffrance est guérie et ou son frère est son ami. Dieu a voulu qu’il s’éveille doucement et avec joie, et Il lui a donné les moyens de s’éveiller sans peur.
Un Cours en Miracles 27.VII.13:1-5
