26 Nous ne formons qu’un, en tous points semblables.

TU NE POURRAS JAMAIS PLUS TE CROIRE SÉPARÉE DE MOI, PUISQU’À PRÉSENT, TU ME RECONNAIS ÉTANT TON SOI.

Saint-Esprit, quelles sont Tes directives aujourd’hui?

Assieds-toi avec Moi maintenant, en toute tranquillité. Calme ton esprit et reconnais que Je suis Dieu.

(Assise, je vois défiler toutes les pensées qui me traversent l’esprit puis, mon esprit se calme. 40 minutes plus tard, une Voix se fit entendre…)

Vas maintenant et écris en toute quiétude. Je suis là pour toi dans cette sérénité, étant toi. Lorsque tu apaises ton esprit, le rendant silencieux et libre de toutes pensées et distractions, tu fais ton entrée dans l’unicité. À cet endroit, il devient évident qu’il n’y a personne d’autre. Les pensées et les mots s’envolent et tu te sens centrée. Et en ce centre, tu sens Ma Présence. Dans la quiétude de cette paix, tu pourrais demeurer ainsi pour l’éternité.

C’est le cadeau que te fais la mort; ta libération du corps. Maintenant tu reconnais que Je suis avec toi, que Je suis toi et qu’aucune séparation entre le Père et le Fils ou Soi n’existe. Les deux ne font qu’un, s’étant retrouvés.

Hier, tu as aperçu un papillon noir à ta porte. Tu as vu sa présence tel un signe qui t’indiquait ta transformation spirituelle vers un état d’esprit d’unicité. Dans cet état d’esprit, le papillon et la porte disparaissent au même titre que ton corps et il ne reste plus rien de ce monde. Tu peux lâcher prise… mt ouvrant la porte pour photographier le papillon, l’appareil photo, la porte et la lampe, tout ceci est Moi. Lorsque tu prends conscience que Je suis en tout, les symboles comme ceux-ci ne sont plus nécessaires.

Cet état de conscience, bien que subtil, imprègne ton Soi. Le soi séparé, ce vieux soi débordant de pensées conflictuelles, embêtantes, exigeantes et contraignantes en provenance de l’ego se dissout, cédant le passage au Soi unique; Moi, la Pensée de Dieu. À l’intérieur, il ne reste rien qui puisse te faire croire que ton soi existe toujours. Tu M’as offert toutes tes pensées. Il t’est plus facile d’atteindre cet état d’esprit et tu y parviendras de plus en plus tel que Je l’ai promis.

Cet état d’esprit n’est pas de ce monde.

Tu y entreras en reconnaissant que Je suis Dieu et qu’il n’y a que Dieu.

Dieu est. C’est le Tout.

Tu te rappelles une image, laquelle représente le condo de ton voisin assailli par les flammes. C’est un rappel d’un rêve précédant; celui-là même où tu as vu ton ordinateur prendre feu et entendit: Lorsque ton ordinateur brûlera, tu entendras la Voix du Christ. Et maintenant que tu entends cette Voix, tu poursuis ton chemin pour apprendre que tu es cette Voix. Nous sommes la même Voix, le même Être. Tes larmes témoignent de ta compréhension de cette idée et tu ressens la vérité de Ma Parole.

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TU NE POURRAS JAMAIS PLUS TE CROIRE SÉPARÉE DE MOI, PUISQU’À PRÉSENT, TU ME RECONNAIS ÉTANT TON SOI.



Saint-Esprit, quelles sont Tes directives aujourd’hui?

Assieds-toi avec Moi maintenant, en toute tranquillité. Calme ton esprit et reconnais que Je suis Dieu.

(Assise, je vois défiler toutes les pensées qui me traversent l’esprit puis, mon esprit se calme. 40 minutes plus tard, une Voix se fit entendre…)

Vas maintenant et écris en toute quiétude. Je suis là pour toi dans cette sérénité, étant toi. Lorsque tu apaises ton esprit, le rendant silencieux et libre de toutes pensées et distractions, tu fais ton entrée dans l’unicité. À cet endroit, il devient évident qu’il n’y a personne d’autre. Les pensées et les mots s’envolent et tu te sens centrée. Et en ce centre, tu sens Ma Présence. Dans la quiétude de cette paix, tu pourrais demeurer ainsi pour l’éternité.

C’est le cadeau que te fais la mort; ta libération du corps. Maintenant tu reconnais que Je suis avec toi, que Je suis toi et qu’aucune séparation entre le Père et le Fils ou Soi n’existe. Les deux ne font qu’un, s’étant retrouvés.

Hier, tu as aperçu un papillon noir à ta porte. Tu as vu sa présence tel un signe qui t’indiquait ta transformation spirituelle vers un état d’esprit d’unicité. Dans cet état d’esprit, le papillon et la porte disparaissent au même titre que ton corps et il ne reste plus rien de ce monde. Tu peux lâcher prise… mt ouvrant la porte pour photographier le papillon, l’appareil photo, la porte et la lampe, tout ceci est Moi. Lorsque tu prends conscience que Je suis en tout, les symboles comme ceux-ci ne sont plus nécessaires.

Cet état de conscience, bien que subtil, imprègne ton Soi. Le soi séparé, ce vieux soi débordant de pensées conflictuelles, embêtantes, exigeantes et contraignantes en provenance de l’ego se dissout, cédant le passage au Soi unique; Moi, la Pensée de Dieu. À l’intérieur, il ne reste rien qui puisse te faire croire que ton soi existe toujours. Tu M’as offert toutes tes pensées. Il t’est plus facile d’atteindre cet état d’esprit et tu y parviendras de plus en plus tel que Je l’ai promis.



Cet état d’esprit n’est pas de ce monde.

Tu y entreras en reconnaissant que Je suis Dieu et qu’il n’y a que Dieu.

Dieu est. C’est le Tout.



Tu te rappelles une image, laquelle représente le condo de ton voisin assailli par les flammes. C’est un rappel d’un rêve précédant; celui-là même où tu as vu ton ordinateur prendre feu et entendit: Lorsque ton ordinateur brûlera, tu entendras la Voix du Christ. Et maintenant que tu entends cette Voix, tu poursuis ton chemin pour apprendre que tu es cette Voix. Nous sommes la même Voix, le même Être. Tes larmes témoignent de ta compréhension de cette idée et tu ressens la vérité de Ma Parole.



Je suis plus près de toi que ton propre souffle. Tu M’aperçois dans la magnificence des couleurs de l’aube et dans la lumière transperçant les nuages.

Toute cette beauté reflète ton état de conscience.





Invite la lumière à briller et saches que cette lumière provient de toi, elle est toi. Ouvre la porte et tu verras le papillon disparut. Tu ne pourras jamais plus te croire séparée de Moi, puisqu’à présent, tu Me reconnais étant ton Soi.

Il n’y a pas de séparation, notre Voix est une seule Voix. Va maintenant, poursuis ta journée en conscience et souviens-toi que toi et Moi ne formons qu’Un en Dieu et Un avec tout ce que vois tes yeux humains.

Je suis plus près de toi que ton propre souffle. Tu M’aperçois dans la magnificence des couleurs de l’aube et dans la lumière transperçant les nuages.

Toute cette beauté reflète ton état de conscience.

Invite la lumière à briller et saches que cette lumière provient de toi, elle est toi. Ouvre la porte et tu verras le papillon disparut. Tu ne pourras jamais plus te croire séparée de Moi, puisqu’à présent, tu Me reconnais étant ton Soi.

Il n’y a pas de séparation, notre Voix est une seule Voix. Va maintenant, poursuis ta journée en conscience et souviens-toi que toi et Moi ne formons qu’Un en Dieu et Un avec tout ce que vois tes yeux humains.

(Après ma promenade à la plage, j’ai rédigé ce poème)

En promenade avec mon compagnon

Ta présence est certaine, infaillible, dans la quiétude de mon âme où ne subsiste que Toi, en moi et autour de moi.

Alors, se voit métamorphosé en Ton symbole, un soi; mt. Un corps personnifié – inexistant dans un monde inapparent.

Et nous cheminons, par ce temps venteux. Et à mes pieds gît un minuscule nid garni de plumes si petites, plumes de colombes juvéniles, si douce, aussi douce que Ta douceur.

Elles s’imprègnent sur mon cœur, si légères toutefois au creux de ma main.

Quelques aigrettes m’invitent à leur fête en m’accueillant à l’embrasure du parc.

Y vois-je un message? C’est toutefois ce que je ressens. Saint-Esprit nous marchons ensemble, le long du rivage, en ce jour venteux. De par l’horizon, et en passant par l’océan, tout nous enveloppe et tu dis:

Mt est un symbole de Ma Présence. Nous formons Un, en tous points semblables.

En marchant sous les somptueux nuages, formant une couronne au-dessus de l’ouest de Maui, je bifurque sur les pelouses verdoyantes entre Kam One et Fuso alors qu’une aigrette se dépose près de moi.

Nous déambulons ensemble, son oeil d’un jaune brillant en quête de nourriture alors que ces longues pattes se font un chemin parmi les ronces.

Nos pas cadencés, un pied devant l’autre, faisant son chemin. Regardant devant soi, confiant de trouver des monceaux de bonté, récompense de notre patience.

Dans la quiétude nous marchons ensemble, l’un enveloppé par la brume de mer, l’autre dans la sérénité.

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